Ce travail d’équipe a fait l’objet d’une publication scientifique intitulée “Non-gravitational acceleration in the trajectory of 1I/2017 U1 (`Oumuamua)”, à paraître au sein de l’édition du 27 juin 2018 de la revue Nature.
L’équipe internationale d’astronomes impliqués dans cette étude est composée de Marco Micheli (Agence Spatiale Européenne & INAF, Italie), Davide Farnocchia (NASA Jet Propulsion Laboratory, Etats-Unis), Karen J. Meech (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Marc W. Buie (Institut de Recherche du Sud-Ouest, Etats-Unis), Olivier R. Hainaut (Observatoire Européen Austral, Allemagne), Dina Prialnik (Ecole des Géosciences de l’Université de Tel Aviv, Israël), Harold A. Weaver (Laboratoire de Physique Appliquée de l’Université Johns Hopkins, Etats-Unis), Paul W. Chodas (NASA Jet Propulsion Laboratory, Etats-Unis), Jan T. Kleyna (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Robert Weryk (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Richard J. Wainscoat (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Harald Ebeling (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Jacqueline V. Keane (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Kenneth C. Chambers (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Detlef Koschny (Agence Spatiale Européenne, Centre de Recherche Spatiale et de Technologie Européen, & Université Technique de Munich, Allemagne), et Anastassios E. Petropoulos (NASA Jet Propulsion Laboratory, Etats-Unis).
L’ESO est la première organisation intergouvernementale pour l’astronomie en Europe et l’observatoire astronomique le plus productif au monde. L’ESO est soutenu par 15 pays : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, la Finlande, la France, l’Italie, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République Tchèque, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse. L’ESO conduit d’ambitieux programmes pour la conception, la construction et la gestion de puissants équipements pour l’astronomie au sol qui permettent aux astronomes de faire d’importantes découvertes scientifiques. L’ESO joue également un rôle de leader dans la promotion et l’organisation de la coopération dans le domaine de la recherche en astronomie. L’ESO gère trois sites d’observation uniques, de classe internationale, au Chili : La Silla, Paranal et Chajnantor. À Paranal, l’ESO exploite le VLT « Very Large Telescope », l’observatoire astronomique observant dans le visible le plus avancé au monde et deux télescopes dédiés aux grands sondages. VISTA fonctionne dans l’infrarouge. C’est le plus grand télescope pour les grands sondages. Et, le VLT Survey Telescope (VST) est le plus grand télescope conçu exclusivement pour sonder le ciel dans la lumière visible. L’ESO est le partenaire européen d’ALMA, un télescope astronomique révolutionnaire. ALMA est le plus grand projet astronomique en cours de réalisation. L’ESO est actuellement en train de programmer la réalisation d’un télescope géant (ELT pour Extremely Large Telescope) de la classe des 39 mètres qui observera dans le visible et le proche infrarouge. L’ELT sera « l’œil le plus grand au monde tourné vers le ciel ».
Ce travail d’équipe a fait l’objet d’une publication scientifique intitulée “Non-gravitational acceleration in the trajectory of 1I/2017 U1 (`Oumuamua)”, à paraître au sein de l’édition du 27 juin 2018 de la revue Nature.
L’équipe internationale d’astronomes impliqués dans cette étude est composée de Marco Micheli (Agence Spatiale Européenne & INAF, Italie), Davide Farnocchia (NASA Jet Propulsion Laboratory, Etats-Unis), Karen J. Meech (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Marc W. Buie (Institut de Recherche du Sud-Ouest, Etats-Unis), Olivier R. Hainaut (Observatoire Européen Austral, Allemagne), Dina Prialnik (Ecole des Géosciences de l’Université de Tel Aviv, Israël), Harold A. Weaver (Laboratoire de Physique Appliquée de l’Université Johns Hopkins, Etats-Unis), Paul W. Chodas (NASA Jet Propulsion Laboratory, Etats-Unis), Jan T. Kleyna (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Robert Weryk (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Richard J. Wainscoat (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Harald Ebeling (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Jacqueline V. Keane (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Kenneth C. Chambers (Institut d’Astronomie de l’Université de Hawaï, Etats-Unis), Detlef Koschny (Agence Spatiale Européenne, Centre de Recherche Spatiale et de Technologie Européen, & Université Technique de Munich, Allemagne), et Anastassios E. Petropoulos (NASA Jet Propulsion Laboratory, Etats-Unis).
L’ESO est la première organisation intergouvernementale pour l’astronomie en Europe et l’observatoire astronomique le plus productif au monde. L’ESO est soutenu par 15 pays : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, la Finlande, la France, l’Italie, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République Tchèque, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse. L’ESO conduit d’ambitieux programmes pour la conception, la construction et la gestion de puissants équipements pour l’astronomie au sol qui permettent aux astronomes de faire d’importantes découvertes scientifiques. L’ESO joue également un rôle de leader dans la promotion et l’organisation de la coopération dans le domaine de la recherche en astronomie. L’ESO gère trois sites d’observation uniques, de classe internationale, au Chili : La Silla, Paranal et Chajnantor. À Paranal, l’ESO exploite le VLT « Very Large Telescope », l’observatoire astronomique observant dans le visible le plus avancé au monde et deux télescopes dédiés aux grands sondages. VISTA fonctionne dans l’infrarouge. C’est le plus grand télescope pour les grands sondages. Et, le VLT Survey Telescope (VST) est le plus grand télescope conçu exclusivement pour sonder le ciel dans la lumière visible. L’ESO est le partenaire européen d’ALMA, un télescope astronomique révolutionnaire. ALMA est le plus grand projet astronomique en cours de réalisation. L’ESO est actuellement en train de programmer la réalisation d’un télescope géant (ELT pour Extremely Large Telescope) de la classe des 39 mètres qui observera dans le visible et le proche infrarouge. L’ELT sera « l’œil le plus grand au monde tourné vers le ciel ».